À propos du courrier de Luc Venet nommé pompeusement “La Fin de l’Illusion”, et la réponse d’un certain Boni, je ne développerai pas le contenu de cet écrit diffamatoire, ce serait donner trop d’importance a son auteur ne m’inspirant que mépris.
Je ne disserterais pas autour du texte d’un ego frustré ampoulé d’amertume. On dirait les divagations d’un vulgaire fan véreux, déçu, désespéré, prêt à tirer à bout portant sur son icone déchue!
Comment un homme qui prétend cheminer dans la lumière et les textes de Sri Aurobindo et de Mère depuis tant d’années peut-il arriver à un degré de noirceur absolue au sein de laquelle ne subsiste plus une once de respect ni d’humanité?
Comment un individu qui se prétend du Yoga de Sri Aurobindo et de Mère, collaborateur de Satprem tant d’années, peut-il s’abandonner à un travail de démolition en assassinant la mémoire d’un être d’exception disparu?
Comment peut-on vomir une diatribe obscène, répugnante, sans accorder un droit de réponse à la personne concernée?… Le plus bas, le plus lâche procédé qui soit.
Avoir attendu que Satprem nous ait quittés pour diffuser ce torchon relève la plus haute corruption d’âme!
Le fameux “charme” de Satprem dont parle Luc Venet, ce “charme” unique, incomparable et irrésistible a opéré sur ma petite personne. Ô combien!!
Je lui serait éternellement reconnaissante d’avoir eu un langage, une expression, une façon d’être et de dire m’ayant permis d’accéder plus rapidement et de façon magistrale à la pensée de Sri Aurobindo et de Mère.
Quel héritage il a su nous léguer! Quel travail, oui, et quelle abnégation...
Satprem est et demeurera un des flambeaux de mon existence. Pas un “maître”, non, mais une indéfectible lumière qu’aucun vent de haine et de diffamation ne saura éteindre.
Xavière Sénéchal
13 novembre 2007