A MIRADITI et l’IRE —

En espérant qu'il ne s'agit pas d'entourloupes si ce n'est plus, il me fallait envoyer ces mots qui viennent du coeur et des tripes, à ceux et celles qui se sont arrogés la mémoire, les archives et la transmission de l'experience d'un petit d'homme appelé Satprem... Il fut remarquable, héroique, incompris, lâché, trahi, qu'importe, il est vivant et bien vivant...

Oui, ce courriel est un courriel de combat, car trop c'est trop et votre indigence n'a d'égal, que votre ignorance qui semble abyssalle. Fait suite, l'une des interrogations de certains et certaines, devant cette “absurdité” de ne pouvoir entreprendre la lecture des Carnets qu'en l'an inconnu. Pour les uns et autres qui auraient voulu savoir, quel gachis de votre part. Quelles responsabilités de la part de tous ceux et toutes celles qui prétendaient servir et qui se sont servis jusqu'a plus soif, avant trahison...

Votre silence, vos admonestations, vos reproches et paroles mal placées ne seront que virgules, dans un texte qui ne peut être lu que par les serviteurs sincères et fidèles. Je dis haut et fort, trop c'est trop et il est plus que temps d'agir sur d'autres plans.

Tendresse infinie et advienne que pourra...

Christian Couyssat
17.08.2012